Petite blague pour faire passer le temps

Contée par Bernard Mabille, homme que j'affectionne sans le connaître, dans les Grosses Têtes hier :

Un prêtre et une nonne sont dans une tempête de neige. Après un moment, ils trouvent une petite cabane. Exténués, ils se préparent à dormir. Il y a une pile de couvertures et un duvet sur le sol, mais seulement un lit.
Gentleman, le père dit : « Ma sœur, vous dormirez sur le lit, et je dormirai sur le sol, dans le duvet. »
Alors qu’il venait juste de fermer son duvet et commençait à s’endormir, la nonne dit : « Mon père, j’ai froid ! »
Il ouvre la fermeture de son duvet, se lève, prend une couverture et la pose sur elle.
De nouveau, il s’installe dans le duvet, le ferme et se laisse sombrer dans le sommeil, quand la nonne dit encore : « Mon père, j’ai toujours aussi froid ! »
Il se lève à nouveau, met une autre couverture sur elle, et retourne se coucher. Juste à ce moment là, il referme les yeux, mais là la nonne reparle : « Mon père, j’ai si froid ! »
Cette fois, il reste couché et dit : « Ma sœur, j’ai une idée : Nous sommes ici au milieu de nulle part et personne ne saura jamais ce qui se passe. Faisons comme si nous étions mariés. »
Enfin exaucée, la nonne répond : « Oui c’est d’accord », et le prêtre crie : « Alors, tu lèves ton cul et tu prends toi-même ta putain de couverture conasse ! »

C'est pas du meilleur goût, mais je la trouve très divertissante...
Et pour compléter cette blagounette, deux citations traitant du mariage, ou plutôt de l'adultère :

La première est de Sacha Guitry :

« Une femme qui s'en va avec son amant n'abandonne pas son mari : elle le débarrasse d'une femme infidèle ».

La seconde est d'Alphonse Allais :

« Un cocu ? Un entier qui partage sa moitié avec un tiers »

Voilà trois (bonnes ?) raisons de ne pas se marier !